Les changements globaux, tels que le réchauffement climatique, la déforestation et l'urbanisation, ont un impact significatif sur la propagation des maladies vectorielles. Les maladies vectorielles, telles que le paludisme, la dengue et la maladie de Lyme, sont transmises par des vecteurs tels que les moustiques, les tiques et les puces.

Le réchauffement climatique favorise la multiplication des vecteurs et la propagation des maladies dans de nouvelles régions. La déforestation et l'urbanisation créent des habitats favorables aux vecteurs et augmentent les contacts entre les humains et les animaux porteurs de maladies.

Ces changements globaux ont également un impact sur la santé humaine, en augmentant le risque de maladies vectorielles et en rendant plus difficile le contrôle de leur propagation. Il est donc essentiel de prendre en compte ces facteurs dans la gestion et la prévention des maladies vectorielles, en mettant l'accent sur la surveillance, la prévention et la lutte contre les vecteurs, ainsi que sur l'éducation et la sensibilisation des populations.