•L’arrêt cardiaque constitue le mécanisme final de tout décès.
•Dans la majorité des cas, il résulte d’une pathologie préexistante (cancer, maladies cardiovasculaires, insuffisance respiratoire...).
•Cependant, certains arrêts cardiaques surviennent de façon inopinée.
•Lorsqu'il n’existe pas de cause dite « circonstancielle » (traumatisme, hémorragie...) incriminable, l’arrêt cardiaque est d’origine cardiaque présumée.
•La maladie coronaire représente la cause principale de ces arrêts cardiaques (80 %), tandis que les cardiomyopathies (15 %) et les maladies liées aux troubles du rythme cardiaque héréditaires (5 %) sont plus rarement en cause.