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Le terme biotechnologie est couramment usité à l’heure actuelle, mais souvent de façon impropre en raison de la complexité de ce domaine et des différents enjeux qui en découlent. Ce terme est composé de «bio» venant du grec bios signifiant vie (et ayant abouti au terme biologie) et du terme «technologie» venant du grec technologia.
La biologie correspond aux sciences de la vie. Le mot technologie est apparu en 1656 et il signifie l’étude des techniques, des outils, des machines et des matériaux.
La particularité de cette science est qu’elle «mélange» la matière vivante et la matière inerte, ce qui peut générer des conséquences imprévisibles. La biotechnologie fait largement appel aux enzymes, aux micro-organismes, aux structures cellulaires, aux ressources techniques du génie génétique et enfin à une ingénierie sophistiquée.
Cette discipline trouve son application dans de nombreux secteurs, tels que l’agronomie, l’agrochimie, l’agroindustrielle, l’agroalimentaire, la pharmaceutique, la médecine, l’environnement et l’énergie.
Les biotechnologies sont divisées en deux catégories qui sont différentes : la biotechnologie ancienne (ou de première génération) et la biotechnologie moderne (ou de deuxième génération). Chacune de ces disciplines utilise la matière vivante ou des procédés biologiques pour produire de nouveaux organismes ou de nouveaux produits organiques.
En revanche, la différence, qui est capitale, se situe au niveau de la méthode utilisée pour arriver à ses fins. Tandis que la première utilise et favorise les processus biologiques «naturels» pour fabriquer ou transformer de la matière vivante (par exemple, la fabrication de vin, de fromage par fermentation, mais aussi d’antibiotiques, d’acides aminés ou de vitamines), l’autre modifie le génome des organismes de façon (relativement) ciblée pour créer de nouveaux organismes ayant des caractères nouveaux.
Ces deux biotechnologies sont différentes de par leurs concepts, leurs méthodologies et les incertitudes qui en découlent. Les différences entre ces deux domaines sont très importantes, car chacune de ces disciplines n’aboutit pas aux mêmes réalisations et les conséquences pouvant être engendrées diffèrent également.
- Enseignant: larbi-doukara kamel

Le module vise à développer les compétences linguistiques des étudiants dans le contexte spécifique des sciences de la vie, en mettant l'accent sur la compréhension et la production de documents scientifiques en anglais.
- Enseignant: MEKDACHE-AYAD Amina
- Enseignant: SNV S2 Transversales
Students will not only have the opportunity to familiarize themselves with scientific words in English that are related to their specialty, but also have the ability to write simple sentences, then more complex sentences ...
This course is intended for students registered in the third year of the license, specialty: Biology and Animal Physiology.
Aims:
The purpose of this course is to give students the scientific words that are related to their specialty and recognition of the main rules for constructing a sentence and summarizing a text
Ce module analyse dans quelle mesure les nouvelles perspectives offertes par les biotechnologies de la reproduction s'appliquent sur les cas d l'infertilité des couples chez les etres humains le module comporte troix grands axes:
+La première partie s'applique à la prise en charge des couples infertiles par explorations cliniques et biologiques (dosage hormonal, exploration ovocytaire ,etude qualitative et quantitative du sperme, (spermogramme et spermocytogramme) dans le but de mettre en evidnce l'etiologie de l'infertilité du couple.
+Le deuxième volet s'intéresse à l'étude des différentes techniques de PMA : Insémination artificielle, fécondation in vitro, ICSI,IMCI etTransfert embryonnaire.voir les différents protocoles et démarches expérimentales des techniques de PMA
+Enfin dans le dernier axe on s'intéresse a l'exploration fonctionnelle des spermatozoïdes et de l'ovocyte dans leur parcours de fécondation par les tests cellulaires et moléculaires de recherche en biotechnologie de la reproduction.
- Enseignant: larbi-doukara kamel
une formation pour un métier dans un laboratoire de
recherche ou encore les centres d’élevage, de préservation et d’amélioration
des espèces animales dans les parcs nationaux ou secteur de santé animal.
L’impact de la nutrition sur la reproduction est reconnu depuis très longtemps. On rapporte que les sociétés anciennes étaient très au courant des effets de la nutrition et de la lactation sur la reproduction.
Dans notre société moderne, les effets de la nutrition sur la reproduction vont dans le même sens. Les animaux en mauvaise condition, ou perdant du poids, ont généralement des performances reproductives décevantes.
Après le vêlage, la vache dirige en priorité l’énergie consommée vers la production, et en second lieu vers la reprise de la condition de chair (tissus adipeux). C’est seulement une fois que ces besoins sont satisfaits que le processus de reproduction soit ré-initié.
La demande en protéines animales pour l'alimentation humaine s'est accrue, parallèlement au développement de l'urbanisation et de l'industrialisation. Ils ont permis de hiérarchiser les valeurs des aliments, de raisonner et calculer les apports alimentaires en fonction des besoins des animaux et de réaliser des substitutions entre aliments en fonction de leur disponibilité ou de leur coût.
La nécessité de fournir des aliments à forte valeur nutritive - en particulier riches en protéines, et peu coûteux aux animaux.
En revanche oblige ainsi les éleveurs à rechercher en permanence les moyens de s'adapter par une meilleure efficacité technique.
Le coût des aliments représente une partie importante du budget et les excès alimentaires tout comme les carences peuvent mettre en péril la santé des animaux et la rentabilité d’un élevage.
- Enseignant: larbi-doukara kamel