L’aptitude à la multiplication végétative peut être considérée comme une potentialité fondamentale des végétaux supérieurs.

Ce mode de reproduction  asexuée intervient fréquemment pour assurer la propagation des plants, lesquels étaient obtenus autrefois par : greffage, bouturage,…etc.

Actuellement, il est possible de pratiquer ces techniques en conditions artificielles, à travers la culture in vitro. Cette technique convient parfaitement à la multiplication d’espèces chez lesquelles les semences sont rares, ou germent mal et/ou les anciennes techniques (citées plus haut) sont inapplicables.

La multiplication végétative par culture in vitro, est un nouveau moyen, mis à la disposition de l’agronome, du forestier et de l’horticulteur, pour faciliter la production de plants d’une part et l’amélioration des espèces végétales d’autre part.

Ce module vient exposer ces techniques modernes de production végétale, en mettant l'accent sur quelques essences forestières soumises à l'expérimentation.


La Cynégétique est l'art de la chasse, c'est aussi l'art de la pratique de la chasse. Elle définit également tout ce qui à trait à la chasse. La chasse est la recherche, la poursuite et le tir ou la capture des animaux vivant à l’état sauvage dénommés gibiers. La pratique de la chasse, outre le fait qu'elle constitue une source de subsistance, joue un rôle essentiel dans le domaine socio-économique et environnemental et participe activement aussi bien à la gestion durable et rationnelle du patrimoine faunistique, qu'à la préservation de ses habitats. C'est dans ce sens que sont créés les réserves de chasse et les centres cynégétiques.

Rappelons que cette partie cours sera suivi par une autre (Cynégétique-1), qui constituent la base primordiale en vue d'une bonne assimilation du cours qui suivra, intitulé ''Gestion de la faune'' qui est le module principal pour les Master 1 Sciences forestières.

Même résumé que le précédent, puisque le présent cours est une partie du cours de Cynégétique.

Objectifs de l’enseignement est l’évaluation des effets des polluants dans les milieux naturels ou sub-urbains et leurs effets sur l’homme, l’environnement et les équilibres naturels.

Concernant la Pollution atmosphérique, L’étudiant doit avoir des connaissances sur les différents polluants et leurs principales sources ainsi que leurs effets sur la santé humaine, l’environnement et le patrimoine de l’homme.


Ce cours est destiné aux étudiants de master 1, spécialité sciences forestières, dont l’objectif est d’acquérir les connaissances relatives aux différentes sources de pollutions et leurs conséquences sur les êtres vivants et l’environnement en général. Pour la maîtrise de cette matière, il est recommandé des connaissances préalables. C’est pourquoi, l’étudiant doit avoir des connaissances en écologie et fonctionnement des écosystèmes.



En écologie, la biodiversité est considérée comme un facteur de résilience des écosystèmes, c’est à dire la capacité d’un écosystème à retrouver un certain équilibre suite à une perturbation (feu, invasion d’une espèce exotique,...etc.). Depuis le sommet de la terre (Rio de Janeiro 1992), la convention de la biodiversité a mis l'accent sur les menaces d'appauvrissement des écosystèmes et d'extinction de nombreuses espèces exploitées par l'Homme, en définissant des mesures de conservation in situ et ex situ.

La biodiversité forestière (flore et faune) revêt d'une importance capitale, tant sur le plan écologique que sur le plan socio-économique. Entre bois, Produit Forestier Non Ligneux, Plantes aromatiques et médicinales ainsi que les ressources cynégétiques, une palette diverse de services écosystémiques sont fournies. La conservation de ces ressources n'exclut pas leur exploitation, mais cette dernière doit se faire de manière raisonnée et durable en permettant la pérennité des espèces et de leur habitats.

Le but de ce module est d'apporter à l'étudiant des connaissances sur les différents enjeux liés à la biodiversité. La connaissance et l'évaluation de l'existant est une étape primordiale avant de passer à l'étape conservation avec ses différents aspects.

En matière d'évaluation ou de mesure de la biodiversité, les aspects quantitatifs (Richesse et Abondance) et qualitatifs (Statut des espèces ou degré de rareté, Endémisme, Chorologie) sont dispensé dans un premier chapitre, appuyé par des exercices en TD.

Le second chapitre consiste à définir les usages variés de la biodiversité pour savoir pourquoi devrons nous nous intéresser à la biodiversité, puis évoquer les risques de surexploitation constituant une menace permanente pour l'existence de certaines espèces.

Le dernier chapitre apporte les moyens d'action en matière de conservation entre : les organismes mondiaux mis en œuvre (UICN, PNUE, PNUD, WWF...etc.) , les méthodes de conservation "in situ" et "ex situ" et l'aspect institutionnel et législatif de la biodiversité, où les principaux textes réglementaires sont étudiés ainsi que les acteurs concernés par la gestion. Sans oublier de mentionner les principales conventions et traités internationaux, ratifiés par l'Algérie.

Acquérir les connaissances relatives aux différentes sources de pollutions et leurs conséquences sur les êtres vivants et l’environnement.

Comprendre quelles sont les origines des pollutions des sols et de l'eau.

 Acquérir les connaissances relatives  la technique qui, par l'acquisition d'images, permet d'obtenir de l'information sur la surface de la Terre sans contact direct avec celle-ci. La télédétection englobe tout le processus qui consiste à capter et à enregistrer l'énergie d'un rayonnement électromagnétique émis ou réfléchi, à traiter et à analyser l'information, pour ensuite mettre en application cette information.